Implanté en 1990 avec force enthousiasme et nouvelle confiance possible en les forces de la vie et de l'avenir au milieu d'un océan de maïs conventionnels, le lieu a plus qu'auparavant besoin d'une nouvelle impulsion pour le porter plus loin.
Nous pouvons encore aider celle, celui ou ceux qui voudront reprendre le flambeau même si nous voyons déjà nos moyens de le porter décliner.

Estimation d'une reprise globale classique (avec matériel et installations) : au grand maximum 170 000 € si habitation complète incluse.
Si rachat du foncier prévoir 60 / 70 000 € de plus.

Concernant l'exploitation, la possibilité de prendre une retraite à taux plein s'est ouverte le 1er février 2016, l'activité a donc été transférée provisoirement entre conjoints le 31 mars 2016, afin de permettre encore la production de semences légumières qui assure l'équilibre économique et le fertilité du sol.

En attendant un partenariat de reprise fiable, nous pouvons participer au dispositif des "espaces test agricole" en permettant à un porteur de projet d'installation de s'essayer en situation quasi réelle à tout ce que cela suppose. Ce dispositif pourrait aider à celle-ci.

Cependant, au delà de la capacité professionnelle qui doit être suffisante, c'est sur la capacité de proposition quand au transfert complet de l'habitation (ou sa modification en deux logements distincts en attendant un transfert complet ultérieur) que se jouera la possibilité de reprise.

L'activité actuelle de l'exploitation se limite à environ 20 ares de semences légumières pour le distributeur Germinance. Elle peut aussi être transmise (ou interrompue dans un délai d'environ une saison).

Pour le sol, voire tout le bâti, le transfert peut aussi être envisagé vers une autre structure associative ou sociétaire.

En 2020, celui-ci a été commencé avec la Fondation Terre de liens, mais des difficultés internes (et peut-être l'absence d'un repreneur moteur) l'a laissé en suspend. Reste qu'un aménagement de la structure juridique existante permettrait probablement une gestion humainement plus proche, plus autonome et peut être plus innovante. En tout état de cause, c'est au futur repreneur de rassembler, par son projet, les partenaires et les moyens pour le mener à bien. Nous en serons si besoin.

Pouvoir s'inscrire dans un prolongement ou un approfondissement des intentions sociales initiales de l'association propriétaire serait bienvenu, mais pas forcément nécessaire.

A défaut, une vente de l'ensemble, y compris donc du sol, peut être examinée.

Premier contact de préférence par mail :
francois.germani > free.fr
en joignant un parcours de vie complet (curriculum vitae élargi ) et bien détaillé sur l'expérience agricole avec des références et aussi des éléments permettant de juger de l'état d'avancement d'un projet d'installation.

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